Dire sa vérité n’est pas être résolument pessimiste !!

Si j’en crois les spécialistes et les industriels, on ferme partout. Pourquoi ou comment ? Oser nous rabâcher que la réindustrialisation est un objectif, apparait comme une mauvaise blague (…) Le savoir-faire s’éloigne et les réserve de fonds privés diminuent. Les discours ne sont plus crédibles. Quant aux sujets masqués dans l’ordre du jour de l’assemblée, sous l’adoption du budget 2025, ils reflètent une situation inquiétante. Le comprendre et réagir n’est pas être pessimiste.

Samcha96@

21 novembre 2024

Ukraine-Russie : des scénarios difficiles à interpréter avant négociation ?

Qu’est-ce qui va se passer d’ici fin janvier avant et après l’arrivée de Donald Trump ? Où s’engage le monde occidental ? Comment imaginer une solidarité européenne dans l’action sur le terrain ? Avec de nouvelles attaques réciproques de longue portée sur le front Est, entre l’Ukraine et la Russie, que doit-on penser ? Quels scénarios : réalité ou simulation avant négociation ? Des massacres réciproques de militaires et de civils sans interruption ! Personne n’en sait rien…

Dominique D. (IdF)

19 novembre 2024

Afin qu’il n’y ait pas d’équivoque en ce qui concerne les propos et les convictions des auteurs, participant aux parutions de Club Espace 21 :

Les commentaires des lecteurs ne sont pas orientés. Il est vrai qu’ils vont plutôt dans le sens de la ligne éditoriale de Club Espace 21. D’abord précisons qu’il s’agit de commentaires ou opinions variés en rapport ou non avec les publications mais avec l’actualité. Nul n’est empêché de critiquer les éditos et les articles, de contester les arguments et de proposer d’autres analyses. Un parti pris contradictoire n’est pas dérangeant, mais doit être consistant, écrit sous forme de commentaire, en respectant un minimum de tenue dans les « écrits ». Ceci explique aussi cela !

La Rédaction

A propos de l’avenir de l’Union européenne

Quelques extraits : l’Union européenne doit redevenir une simple communauté économique européenne , comme la CEE , avec le Traité de Rome de 1957, donc une simple zone économique commune de libre-échange, incluant des accords multilatéraux en matière de défense, tout en laissant la souveraineté à chacun des 27 États membres pour le régalien, monétaire, maîtrise de sa politique agricole , industrielle , migratoire , monétaire , etc. , comme Suisse , Norvège et Islande, chaque état européen pouvant alors enfin mener une politique au bénéfice de ses propres intérêts. Chaque pays doit pouvoir défendre ses intérêts et l‘Europe fédérale est beaucoup trop hétérogène pour cela. Donc, soit l’Europe s’inspire du modèle des BRICS, à vocation d’entente commune purement économique, soit elle finira par s’effondrer et disparaître à force de vouloir défendre des intérêts contradictoires comme France et Allemagne, sans parler du MERCOSUR…

Luciditus (sur Économie Matin du 18/11)

17 novembre 2024

UNE UNION EUROPÉENNE DIVISÉE ET INQUIÈTE FACE AU CHANGEMENT À L’AMÉRICAINE

Les commentaires vont « bon train » avec l’arrivée prochaine de Donald Trump à la Maison Blanche début janvier. Celle-ci est perçue comme un danger dans nos milieux politiques conformistes, soucieux de maintenir l’Union européenne et aussi la France, dans un immobilisme de confort. A l’international, les doutes se précisent. L’Ukraine d’un côté, où veut-on aller ? Israël, danger pour la paix au Proche-Orient ? Peu importe, devant cette instabilité à l’européenne, les consignes des gouvernants recommandent aux États de conserver et de développer leur unité devant l’emprise du futur contrôle américain, largement pressenti. Mais l’inquiétude ne s’arrête pas là. Le coup de semonce sur la gestion administrative fédérale du géant américain interpelle. La commission européenne et le parlement devraient se pencher sur la façon dont ils gèrent les 27. Que faire quand cette institution ignore les électeurs et leur souhait profond de transparence d’écoute et de respect des opinions ? La complexité de sa structure et de son organisation, même si on peut la comprendre devrait s’inspirer du nettoyage à l’américaine.

Au fil de l’info de la semaine

14 novembre 2014

Lors d’un premier mandat d’élu, seule la réélection compte !

Chez « nous » en France qui a le droit de dire n’importe quoi, n’importe où, à n’importe qui, sans souci ? Le politique du local au sommet ! Quand je vois l’image de nos représentants du peuple, j’ai compris. Pour trop d’entre eux, tout est maquillage, sous-entendus, quelques grimaces indispensables en serrant quelques mains. C’est l’obsession de la réélection qui prédomine. Les plus sincères, les plus engagés sont souvent les plus critiqués. Rien de surprenant, mais l’intérêt de la proximité d’élus à tous les niveaux pour un simple citoyen n’existe plus. La sincérité n’est plus un facteur de réussite.

MarcousI75@

Favoriser la recherche et le développement … en France !

Il faut cesser de jouer avec nos réels talents chercheurs. Chaque année, je vois disparaître beaucoup de mes collègues les plus brillants partir à l’étranger et pas qu’aux Etats-Unis, aussi dans de grands groupes français. Évidemment, si les conditions de vie de chercheur et la rémunération y contribuent, la déclinaison de notre industrie aussi.

Karima@

9 novembre 2024

Le temps perdu au travail et les laissés pour compte…

Cet article m’a beaucoup plu. C’est clair pour en parler aussi simplement, vous avez du vécu en entreprise. Quand je vois nos représentants à l’assemblée et nos gouvernants parler de temps de temps travail, soyez conscient qu’ils ne savent pas de quoi il s’agit. Aujourd’hui en France on nous dit près de 38,7h en moyenne (35h durée officielle), contre 39,3h en Allemagne. Soit 0,6h de plus par semaine. Ça veut dire environ 35 minutes par semaine ou encore 7minutes par jour ! Travailler plus pourquoi pas, mais à commencer par travailler mieux. Et sérieusement remettre en activité avant emploi les « vrais » chômeurs compétents, laissés pour compte…

Gérard H. (Nord)

7 novembre 2024

UNE RÉPONSE AMÉRICAINE POUR TANT DE QUESTIONS ENCORE SANS RÉPONSES DANS L’ACTUALITÉ ?

L’évènement majeur de cette séquence concerne le résultat de l’élection présidentielle américaine. Première réponse, une victoire exceptionnelle de Donald Trump, inattendue par son ampleur. Il prendra ses fonctions en janvier 2025. Ce changement de personne, de politique et de ligne de conduite interpelle. Qu’en sera-t-il des conséquences pour la paix en Ukraine et le cessez-le-feu au Proche Orient ? De l’espoir, sans réponse immédiate. Les plus enclins à se poser des questions sont d’abord et avant tout les occidentaux, pour ne pas dire l’Union européenne et bien entendu la France. Côté européen, l’avenir n’est pas optimiste. Où allons-nous ? Au plan stratégique, politique, économique et financier, les dés sont jetés. Un peu de patience. L’Immigration, la drogue et l’insécurité sont des sujets prioritaires. L’image américaine aura-t-elle une influence pour des solutions en Europe ? L’Allemagne est en grande difficulté, la France en pleine confusion. Qu’adviendra-t-il ? L’OTAN à l’ancienne, c’est fini ? Quand au reste du monde, les BRICS, sous la houlette de la Russie et de la Chine, observent et s’organisent.

Au fil de l’info de la semaine

5 novembre 2024

La Commission européenne remet ça ?

En pleine situation adaptative devant un parlement à majorité variable, Ursula Van der Leyen n’hésite pas à modifier son comportement. Les sujets ne manquent pas pour s’en apercevoir. Qu’en est-il de son autorité et de sa gouvernance en solitaire ? Nous n’avons pas à nous inquiéter, c’est dans les détails et les « contraires au règlement » qu’elle se retrouve pour réaffirmer son autorité.

Marsupilami77@