Informer, désinformer, c’est le degré d’audience qui compte

Déjà entre eux les médias de toute nature cherchent le détail anodin pour parler d’exclusivité. Concurrence oblige. Info, formée ou déformée, ils exultent. Pour assurer leur degré d’audience, tous les moyens sont bons, du silence, à l’oubli ou à la mauvaise foi, comme à la redondance. Ils contribuent avec beaucoup de réseaux à notre désinformation…

Roland_67@

9 mai 2025

Le Foot est toujours un prétexte à la casse…

Un match de foot un bon résultat et c’est parti. Avec joie, la victoire est là : qualifié, tu peux y aller. Les black bloc montrent l’exemple aux fans. Plus tu casses, mieux tu te portes. Saisir les « occases » et ne pas les laisser passer. Même quand PSG jouera en finale à Munich, on est sûr du résultat sur les Champs-Élysées !

Proto.com@

5 mai 2025

À en croire nos politiques, le pouvoir législatif est confisqué ?

De mieux en mieux, le Sénat n’a pas le dernier mot. L’assemblée peut faire ce qu’elle veut, elle n’a pas de majorité. Le gouvernement n’a qu’une solution le décret. Pour faire taire les observateurs de l’immobilisme. Déjà appliquer les lois et les règles qui inondent notre droit, serait une bonne chose. Mais c’est oublier la face cachée du pouvoir du président. Pourquoi ne pas écouter certains groupes particuliers ou mieux créer une convention citoyenne bien choisie ? Ça fait plaisir au CESE de juger du résultat pour conseiller le gouvernement et lui permettre de présenter un projet de loi.

Catherine F. (IdF)

On appelle ça une réunion hebdomadaire !

Dans ma boîte, je suis désormais seul aux réunions d’études du mardi. Nous étions trois plus mon chef. Depuis la semaine dernière, avec le mois de mai, je suis tout seul au bureau. Ma collègue est en télétravail, le mardi et le mercredi, quant à mon chef, il est en formation pour 2 mois. André, mon collègue de plateau est en congé maladie. Avec la vidéo et l’IA, notre chef nous a dit qu’on pouvait s’en sortir sans problème. Voilà un exemple pour votre article d’une réunion hebdomadaire qui se tiendra maintenant tous les quinze jours en virtuel…

Adrien T. (Rhône-Alpes)

27 avril 2025

A la pêche aux chercheurs universitaires d’outre-Atlantique ?

De nombreux chercheurs et enseignants de grandes universités ont été débarqués par Donald Trump. Plus ou moins bien appréciés, suivant leur appartenance et leur influence politique à l’université, néanmoins, c’est un branlebas de combat. On veut les récupérer. L’Europe s’enrichit, la France au passage aussi avec une mobilisation générale. « Wait and see » nous soufflent les Britanniques avant d’être conquis. Ils savent de quoi ils parlent ?

LarryG@

23 avril 2025

L’avenir du transport est au sol ou sur l’eau !

Le patron de Safran a dit non à l’implantation d’une usine devant l’accueil « écologique » à Rennes. Réponse éclairée pour justifier la manifestation du refus dans la bouche de la porte-parole : « l’aviation n’a pas d’avenir… ; c’est de l’avenir de la planète dont il s’agit. » J’espère que vous avez tous compris, l’avenir du transport est au sol ou sur l’eau !

Marsupilami77@

IA et télétravail : les différentes générations n’ont pas même opinion…

Je viens de lire dans Les Échos, un autre obstacle au télétravail et à l’IA ? Celui des différences générationnelles. Vous ne l’avez pas évoqué dans votre article du mois. Mais c’est vrai que chacun voit midi à sa porte. Les moins de 30 ans acceptent le défi. Les plus âgés jusqu’à 50 ans sont plus réservés. Les autres ne s’en préoccupent pas. Ça peut être une source de conflit.

Bertrand K. (Strasbourg)

19 avril 2025

L’UNION EUROPÉENNE : TROP DE QUESTIONS SANS RÉPONSES !

Dans un contexte mondial incertain, quelle position occupe encore l’Union européenne dans sa gouvernance ? Contrainte de faire du « surplace » avec une mondialisation contestable ? Avec une guerre en Ukraine dont il est difficile de voir la fin, l’Union européenne est divisée. La Russie aurait les cartes en mains avec un comportement difficile à appréhender outre-Atlantique. Comment parler d’une Europe de la défense ? Le Royaume-Uni est de retour. Quel avenir réel pour la relation politique franco-allemande à Bruxelles ? Pourquoi des différences économiques, sociales et fiscales, sans parler des écarts de culture, de langues, de religion et d’histoire, rendent incompatible la notion d’unité ? Un Espace Schengen, sans frontières et à la carte qui confirme l’ampleur prévisible d’une crise migratoire sous-estimée à l’échelle européenne ? Trop de questions restent sans réponse. Oui, la fracture de l’Union européenne est une réalité.

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