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Commentaires et avis des lecteurs

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1er novembre

« Les opposants du président sont incompétents », c’est le Prix Nobel d’économie qui le dit !

Il se prend pour qui notre prix Nobel d’économie 2025 ? Toujours en 2ème tableau, rien d’exceptionnel, un principe fondamental ne jamais contrarier personne au pouvoir surtout pour ne rien dire. Une récompense partagée et le voilà tout à coup sur tous les plateaux. Il détient la vérité. Un esprit partisan, agressif, nerveux, mais il sera reçu à diner à l’Élysée. C’est lui qui le dit. J’ai honte, c’est vrai que ce n’est pas un prix de Nobel de Physique ! Il n’a pas encore compris que l’économie n’est surtout pas une science exacte.

Marsupilami77@

29 octobre 2025

UNE SITUATION BUDGÉTAIRE À PERSPECTIVES NÉGATIVES

Les agences de notation se sont prononcées : note dégradée ou pas, des perspectives négatives. Décidément, il est difficile de trouver une lueur de mieux être. Depuis début septembre, l’ensemble "France", déjà en difficulté, part à la dérive avec une dette et un déficit importants, accompagné d’une croissance quasi-nulle. Une version du projet de loi du budget, après un tour au Conseil d’État est devant l’assemblée nationale. Tout doit être examiné et adopté avant la fin de l’année pour éviter les « ordonnances ». A l’ordre du jour, au centre des débats, on retrouve les impôts en hausse en cachette, la taxe sur les très grandes fortunes, complétés par un amoncellement de taxes tous azimuts. Autre sujet à la "Une", le devenir des retraites, l’âge pivot et la durée de cotisation. De mal en pis, concessions à l’appui, personne n’est en mesure de savoir où va le gouvernement. Des oppositions lesquelles ? Une majorité relative volatile, laquelle ? Menace, chantage, censure ou pas, dissolution ? Du pas en avant au pas en arrière ou de côté, toutes les figures y passent. Ce spectacle n’a rien d’inédit. Les débats et les duels parlementaires ne datent pas d’aujourd’hui. Mais au bout du compte, même question à court d’arguments et de solutions pour s’en sortir, où allons-nous ?

Au fil de l’info

24 octobre

La tutelle de Bruxelles s’accélère : complicité ou pas ?

On ne peut pas continuer de prétendre qu’en France tout va bien. C’est l’inverse, il n’y a aucun doute ! La liste serait trop longue à développer. Quand je vois la chute en continu de la France dans presque tous les domaines, je ne peux pas le croire. Je finis par me demander si ce recul permanent qui s’accélère ne convient à la stratégie élyséenne, proche de la Commission européenne. Par intérêt immédiat ou par objectif calculé, cette complicité n’est pas un leurre. La situation en France et à l’étranger est instable, inquiétante et difficile à prévoir. Une tutelle Bruxelloise est plus rassurante. Et puis, c’est tout un programme après 2027…

RICM75@

20 octobre 2025

Un budget de circonstance pour le fond ou pour la forme

Parler de discussion budgétaire, de qui se moque-t-on ? Sur le principe et en rapport avec la loi, c’est ok, mais à condition de le construire un vrai budget pour un futur à court terme (le fond). C’est-à-dire pour 2026. Imaginer aller plus loin dans la prévision est un leurre dans le contexte pagailleux d’aujourd’hui. En réalité, c’est pire ! On retourne des années en arrière en ignorant le présent. Des économies réelles ? Non. De simples réductions de dépenses à venir prévues et on ose dire que ce sont des sacrifices (la forme). Et voilà le tout glorifié par des discussions infinies sur les retraites… Le futur est à la porte, on n’est pas près de savoir où sont nos priorités ?

Samcha96@

17 octobre 2015

Sanction de Standard & Poor’s, baisse de la note de la France à A+

Pas de surprise, après Fitch, c’est le tour de S&P. Une décision annoncée avec un mois en avance qui n’est pas sans conséquences, d’autant que Moody’s va aussi communiquer sa note dans quelques temps. On l’oublie mais il s’agira de la quatrième dégradation de la note de la France dans l’année. Même si la signature de la France reste solide, la dynamique du recul est inquiétante. Dette, déficit, très faible croissance, incertitude budgétaire, censure, etc.

Betacompta45@

10 octobre

UN MOIS D’OCTOBRE À LA HAUTEUR DE GRAVES INCERTITUDES POLITIQUES Le surplace n’est plus à démontrer avec le retour du même Sébastien Lecornu

Depuis un mois, date de la première nomination de Sébastien Lecornu, démonstration est faite d’un surplace monté de toute pièce entre l’Élysée et Matignon. Sébastien Lecornu a démissionné. C’est alors la mise en place d’une invitation d’exception à l’Élysée, réservé aux chefs de parti et présidents de groupes parlementaires à l’Assemblée. Convocation du bloc central, agrémenté du LR. PC, Écologie et PS étaient invités. RN et LFI sont exclus. Après une réunion l’après-midi entière avec Emmanuel Macron, aucun résultat. L’ensemble des participants sont ressortis soit sombres, muets, voire sidérés. Un spectacle lamentable, pas décision quant à l’esquisse d’une majorité gouvernementale. Le chef de l’État a du mal à suivre le déroulement des évènements. Désormais, au pied du mur, il attendra la fin de soirée pour annoncer la reconduction de Sébastien Lecornu à Matignon, quatre jours après sa démission. Une nouveauté dans la nomination : « la carte blanche », une garantie de tout reproche dans l’action pour le « délégataire » ! Mais attention il y aura toujours une censure à l’ordre du jour...

Au fil de l’info

5 octobre 2025

Agir en politique : on n’est pas pressé, il faut en parler…

Comment imaginer une prise de conscience, suivie d’une décision et d’un passage à l’action ? Plus je regarde les politiques au pouvoir ou pas, moins je suis rassuré. C’est vrai que je ne suis pas surpris. « Tu parles, il parle, on parle… » Et alors rien, le temps passe, il ne se passe rien, excepté une certitude : l’engagement qu’on va encore en parler avant de prendre une décision. On n’est pas près d’agir...

Gérard O. (Midi-Pyrénées)

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