14 novembre
UN GLISSEMENT D’INTÉRÊT COMMANDÉ, DÉTOURNÉ VERS LA POLITIQUE EXTÉRIEURE
Le budget 2026 en suspens est considéré comme étant dans une impasse caractérisée. Son approbation est improbable, mal partie pour une majorité de parlementaires, toutes tendances confondues. « Même le promoteur, délégué de l’exécutif, en est convaincu, à moins qu’il en soit le complice… » Le gouvernement aura alors les « mains libres ». Toutes ces critiques se retrouvent dans la presse écrite, l’audiovisuel et en particulier dans les débats sur les chaines d’information continue. Enfin une déviation s’offre à l’Exécutif pour éviter les bouchons de la politique intérieure ! La solution, c’est d’interpeller sur l’international, c’est mieux et c’est plus facile. Euphémisme, cela passe par une précipitation politique commandée, qualifiée d’anticipatrice pour parler d’une menace de guerre programmable avant 2030. Les décisions de « plâtre » sont de sortie, une lettre d’intention de livraison à l’Ukraine de (jusqu’à) 100 Rafale (dans… ? Et qui paie… ?). Et la suite, si on rajoute un discours « guerrier », préventif et « sous-traité » devant les Maires, pour mobiliser les opinions en détournant leur attention ce n’est pas sérieux.
Au fil de l’info
14 novembre 2025
Faut-il prolonger la durée de vie de nos réacteurs nucléaires ?
Bien entendu que la question s’est posée. La réponse ne fait aucun doute. EDF n’attend que ça. Encore faudra-t-il en convaincre les pouvoirs public et politique ? La Cour des Comptes y contribue : « prolonger la durée de vie de nos 57 réacteurs nucléaires jusqu’en 2035, c’est-à-dire au-delà de 60 ans, sera coûteux au-delà de 100 Md€, mais rentable. » La construction et la mise en place progressive des EPR2 en confirment la nécessité. Si les mini-réacteurs nucléaires sont une des importantes composantes du futur, les Etats-Unis progressent, l’Europe et la France sont bien retard !
Jacques P. (IdF)
13 novembre 2025
UNE IMAGE DE LA FRANCE QUI SE DÉGRADE
Que devient l’image de la France ? Les questions qui dérangeante sont désormais à usage multiple à l’intérieur comme à l’extérieur. Le recul de l’influence de l’autorité d’un côté, la faiblesse du poids de la France à l’international en témoignent. Il y a tellement d’exemples à rappeler qu’il est préférable d’être affirmatifs. On se contentera d’évoquer la situation en interne. On ne compte plus les secteurs en difficulté, le surplace que les progrès et les meilleurs résultats économiques et sociaux passent dans l’indifférence par habitude. En fait, c’est plutôt du « politique » dont on parle. Et plus précisément de l’image perçue de notre exécutif, du gouvernement et des oppositions, en majorité plus enclins à conserver leurs « pouvoir » et leurs « sièges ». Mi-novembre, un budget de la sécurité sociale en cours d’examen parti au Sénat. Un aller-retour classique, bouleversant les acquis des députés pour retourner en commission paritaire et à nouveau devant les députés ? Tout ça pour ça, diront certains si on se retrouve en fin d’année sans budget 2026 adopté, on repartira à la case départ. Le tout se concluant par des ordonnances.
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