Les « casse-tout » occupent le terrain dont la France est exclue !
Bravo, les « casse-tout » ont pris possession de la rue, près de 200.000 manifestants le 10 septembre. Combien seront-t-ils dans les semaines qui suivent ? Un ensemble, qualifié d’ultra-gauche pour effacer les doutes. Des manifestations confisquées, des troubles et des casses dont la France est absente, nous affirme-t-on ? Mais alors qui sont ces casseurs anarchistes ? En fait, on ne peut plus manifester, même dans les urnes ? C’est une preuve de plus de la dictature de l’échec !
Code_plus@
9 septembre 2025
En route vers une impasse ? Au suivant, un proche du chef de l’État...
Un vote très majoritaire de défiance à nos gouvernants. Un constat de chaos. C’est bien dit dans l’édito. Si ça n’est pas une surprise, on n’a pas de raison de s’en contenter. Mais tant que nous ne sommes pas en mesure d’avoir une assemblée à 2 corps, nous resterons dans une impasse. Si notre politique consiste à continuer à vouloir faire plaisir à tout le monde et penser qu’il ne faut contrarier personne pour s’en sortir, on va droit dans le mur. Le sens développé de « l’ego » est une voie infantile sans issue. Mêmes causes, mêmes effets, au suivant, Sébastien Lecornu, proche du chef de l’État...
Marsupilami 77@
08 septembre 2025
DES DATES À RETENIR : Le 8 "CHUTE DE FRANÇOIS BAYROU", LE 9 "SÉBASTIEN LECORNU à Matignon", LE 10 "BLOQUONS TOUT" et "GRÈVE GÉNÉRALE" LE 18 SEPTEMBRE ! Aucune surprise les priorités restent les mêmes sur fond de crise politique
Le Premier ministre François Bayrou a tenté de convaincre la représentation nationale. Le résultat est sans appel. Le vote de confiance s’est transformé en vote de défiance de 364 voix « contre » 194 « pour » 558 votants. Emmanuel Macron nomme Sébastien Lecornu comme premier ministre. Combien de priorités de toutes natures, chacune à son échelle d’importance, sont absentes des discussions et des interventions politiques. La liste est longue : la santé ; l’éducation ; le chômage et l’inactivité des jeunes et des seniors ; le numérique et l’IA ; le climat et l’environnement ; la défense ; l’immigration non maîtrisée ; la sécurité ; les fraudes ; le gaspillage ; etc. ? Qu’advient-il des économies structurelles, de la réduction du nombre d’agences et d’organisations superfétatoires, de la diminution d’effectifs administratifs dans de nombreux secteurs ? Oser qualifier d’économies budgétaires une simple réduction de l’augmentation du budget en 2026 n’est pas acceptable. Qui parle du coût de l’énergie, d’investissement et de productivité, de recherche et de développement, de croissance et de compétitivité, privés et publics ? La suppression, sans conséquence, de certaines modalités inutiles mais spectaculaires ne cachent pas l’augmentation des taxes et des impôts principalement sur les actifs et les "boomers". Les gouvernants n’ont jamais envisagé de montrer l’exemple en réduisant de manière significative leurs passe-droits et leurs avantages. Qu’en pense l’Élysée ?
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