Manifestions violentes en présence de casseurs sur fond d’assassinat !

Au lendemain d’un assassinat terroriste, des manifestations contre la Loi El Khomri encore dans la violence (…) Des centaines de casseurs s’infiltrent dans les défilés (...) J’ai été témoin de coups avec les forces de l’ordre, d’échanges, de haine et de dégâts matériels importants sous une tension qui devient non maîtrisable. Droit de grève, droit de manifestation, au prix d’une telle violence, nouvelles rencontres programmées les 23 et 28 juin prochains, encore des champs de casse à venir, c’est trop !

Charles B. (Paris - IdF)

13 juin 2016

Personne ne propose une sortie de crise…

Que ne dites-vous ça très bien en parlant de désordre permanent ! Evidement que cette situation en France, qui aurait été jugée comme irréaliste il y a quelques temps, devient monnaie courante. Nos représentants politiques, majorité ou opposition, le patronat et les syndicats ne savent plus où donner de la tête. Aucun d’entre eux n’est en mesure de proposer une sortie de crise !

Ph.master4@

12 juin 2016

Une situation plus que délicate pour maintenir l’ordre !

C’est parti ! Voilà maintenant les hooligans à l’honneur, mais il ne faut rien dire. C’est comme ça partout dans tous les pays organisateurs de compétitions internationales comme l’Euro, paraît-il ! Les bagarres entre supporters font partie du folklore… Alors entre les casseurs attendus pour la prochaine manifestation sociale nationale du 14 juin, l’état d’urgence, les fans zones, la surveillance de hooligans et d’autres supporters dérangés, les grèves, sans oublier la sécurité anti-terroriste, le maintien de l’ordre est plus que délicat !

Véronique N. (Ile de France)

Le FMI veut encourager la relance de l’activité dans l’UE

Conscient de la faiblesse du taux de croissance mondial, voilà maintenant que le FMI ne sait plus quoi faire. Il est interrogatif à l’égard de la Commission de Bruxelles. On ne peut pas passer son temps à veiller sur les déficits et les dettes (…) En Europe, il y a de quoi faire ! Non c’est l’activité qu’il veut stimuler. Vous l’avez assez écrit et répété…

stabilo7517@

8 juin 2016

« Je ne sais pas où on va, mais on y va »

« Je ne sais où on va, mais on y va ». Qui n’a pas encore entendu cette phrase ? Chaque fois que j’ai l’occasion d’échanger, c’est le pessimisme qui l’emporte. Ce qui m’ennuie (pour ne pas utiliser une autre expression), c’est que personne ne voit d’issue évidente dans ses réflexions. C’est inquiétant. Et maintenant, on espère que l’Euro 2016 sera une satisfaction… A mon avis, quoiqu’il arrive, il faudra vite remettre la balle au centre !

lassitude45@

Eurogroupe : de quoi je me mêle ? Attention au Frexit…

Quand on dit que Bruxelles se mêle de tout, on oublie l’Eurogroupe et son patron le néerlandais J. Dijsselbloem, aussi ministre des finances. Le voilà qui est en train de s’étonner de l’indulgence de la Commission à l’égard de la France en matière de règles de discipline budgétaire ! Y en a marre ! Alors à quand un Frexit ?

Serge B. (Strasbourg - Grand Est)

2 juin 2016

Apprenez à tenir vos nerfs pour sauver notre image…

Des mots et des insultes, sous couvert de « suffisance de position » et de « mépris de confort », dans tous les sens, relayés « à la Une » par les médias, j’ai honte à mon pays à moins de 10 jours de l’Euro, quand je vois le spectacle auquel nous assistons. Je vous laisse le soin d’apprécier et de juger cette kyrielle de propos malvenus : Emmanuel Macron (costard), Pierre Gattaz (voyous et terroristes), Karim Benzema, Jamel Debbouze et Cantona (pression raciste), etc…

alain110@