Pour la SNCF, le plus lourd est devant nous
Lors d’une émission sur France 5, « C’est dans l’air », Raymond Soubie, président d’Alixio, a interpellé avec détermination que devant la satisfaction générale, autant côté gouvernement que des usagers, ce n’était pas fini. En effet, il a rappelé que les véritables vraies négociations allaient commencer sur les branches, les structures, la rentabilité avec la concurrence, etc. Comme il le dit tout reste à faire. L’ère de la concertation est terminée.
Betacompta48@
31 mai 2018
Communiqué de CE21 :
Au-delà de l’inadmissible : les propos de Günther Oettinger Cette personne est Commissaire européen au Budget à Bruxelles et se permet de prononcer mardi dernier une phrase inadmissible. Il assure que les marchés financiers allaient « enseigner aux Italiens comment voter ». Ces propos ont soulevé une profonde indignation dans le pays. Bien-entendu, la coalition Ligue-M5S est très choquée. Mais cette indignation dépasse les plus concernés. Le parti Démocrate est aussi mobilisé et est monté au créneau. Il ajoute que nul n’est mandaté pour dire aux Italiens comment ils doivent voter. Tous les responsables demandent des « excuses officielles ou sa démission ». Le président du Conseil européen, Donald Tusk, s’est exprimé et son appel à toutes les institutions de l’UE : « respectez les électeurs. Nous sommes là pour les servir, pas pour leur donner des leçons ». Quant à la Commission européenne elle a toujours du mal à prendre clairement ses distances. Pour le Club, il nous est apparu qu’il était indispensable de faire état de cette intervention, hors de l’acceptable ! Club Espace 21 |
29 mai 2018
Italie : une crise politique et financière qui ne dit pas son nom
Vous venez d’évoquer au travers d’un article de presse la crise politique en Italie. C’est bien entendu, mais les marchés continuent à l’attaquer. Revirement ou non, les propositions politiques ne sont pas satisfaisantes. Que le nouveau premier ministre soit un ancien dirigeant du FMI ne rassure en rien la bourse. C’est l’inquiétude qui prédomine. Alors, les marchés sont sur le qui-vive. Par ailleurs, le peuple italien n’est pas satisfait. Il s’attend à revoter pour des législatives avant la fin de l’année. Comment réagira-t-il ?
laetitia78@