PARENTHÈSE SUR LES VEHICULES ÉLECTRIQUES…

Au milieu d’une actualité difficile, aussi dense que variée, nous avons ouvrir une parenthèse sur le marché et la production des véhicules électriques. Limitons-nous à un simple regard sur l’Hexagone. 2023 a été considérée comme une « bonne » année pour les électriques. Et pourtant fin décembre, la part de marché électrique ne représente plus que 11% du parc automobile contre 14,6% en 2023. Pour l’instant, l’Agence Internationale de l’Energie (AIE) est confiante sur sa croissance jusqu’en 2025 et inquiète au-delà.

Les véhicules électriques ne sont exonérés de production de polluants, de CO2 et de déchets. L’extraction comme le raffinage des composants (nickel, cobalt, lithium, graphite) sont consommateurs d’énergie et polluent les sols et les eaux. Par ailleurs, l’électricité est difficile à stocker, ce qui pose un problème important d’autonomie, d’encombrement et de coût aux voitures électriques. En témoigne la production, le transport, l’entretien, la consommation et la destruction des composants.

Le doute s’installe. Le tout électrique remit en cause ? On ne parle plus de véhicules électriques, mais hybrides. Et la Chine dans tout ça, envahit le marché et casse les prix. Non la voiture électrique verte n’est pas pour demain. Le sera-t-elle un jour ?

Au fil de l’info de la semaine

Voiture électrique : Un succès discutable de la propagande politique ?

À en croire des séries d’articles de presse la France serait en tête en Europe de la vente de voitures électriques. On espère être en mesure d’atteindre le zéro carbone en 2050. Il faut s’en tenir aux chiffres et à un minimum d’intelligence pour deviner que ce n’est qu’une annonce de propagande politique. On l’a dit, on l’a écrit, on en a la preuve et pourtant… L’aide de l’État ne va pas durée 25 ans. Le progrès, l’innovation, la technologie et l’IA auront raison de ces bétises utrancières. 45.000.000 voitures thermiques contre moins de 1.500.000 aujourd’hui. Lezs Chinoises sont là et ne cesseront jamais d’arriver !

Betacompta45@

8 mai 2024

TOUT POUR L’INTERNATIONAL, PRÉSENT PARTOUT

Depuis une dizaine de jours, l’actualité internationale a pris le pas dans la presse, les médias audiovisuels et les réseaux sociaux. Un point de départ alimente les polémiques : les interventions successives du Président de la République dans les différents magazines et journaux comme dans « The Economist ». Après l‘oral, l’écrit, avec une entrée confirmée dans l’action pour aider la majorité sur le terrain à propos des élections européennes. Une occasion d’aborder tous les sujets de défense en passant par l’Ukraine, la Pologne et les pays Baltes et de confirmer l’engagement et le soutien de la France sous toutes ses formes en cas de besoin et d’effacement à terme de l’OTAN et des États-Unis.

Les universités américaines ouvrent la voie dans la forme et la violence de la contestation en faveur de la cause palestinienne et franchement antisioniste pouvant aller jusqu’à l’antisémitisme. En France, des groupes d’étudiants convaincus et manipulés de Sciences Po Paris prennent exemple, les universités et lycées tentent de suivre pour manifester. Nul ne peut nier les victimes civiles de Gaza ? Mais qui parle des otages ? Personne. Le 7 octobre est déjà loin.

Pendant ce temps, la Chine et son Président sont en France. Avec les partenaires occidentaux, Union européenne comprise, des divergences incontournables et des points de vue opposés sont toujours présents, au-delà des façades indispensables. Ils ne sont jamais mentionnés mais toujours sous-entendus. Heureusement le tout se termine ensemble au col du Tourmalet.

Et puis, la flamme olympique, symbole des J.O. est arrivée à Marseille à bord du Belem. Un magnifique accueil populaire, un moment de détente et de joie...

Au fill de l’info de la semaine

Économie : votre pessimisme est trop systématique

Pourquoi restez-vous dans une attitude qui décrit la situation économique française comme pessimiste. Je trouve qu’avec le Club, vous avez tendance à nous convaincre que le retour à une économie saine sera difficile. Le gouvernement s’attache à réduire ses dépenses (…) L’Europe résiste et fait mieux que prévu au premier trimestre 2024. L’OCDE est optimiste et s’attend à une croissance qui dépasse les 3% dans le monde. Oui, il y a des conflits mais la fermeté affichée par les Occidentaux et le Président devrait atténuer la pression en Ukraine. Alors sortez de votre parti pris négatif. Je voulais vous le dire (…)

Mathieu V. (Rhône-Alpes)

02 mai 2024

Des défilés pour rien !

Un 1er mai des plus classiques. Où sont les revendications ? Les points qui coincent ? Si tu regardes les médias ou que tu écoutes les radios, à part la casse et les milliers de blackblocs, on ne voit pas les cortèges. Les syndicats ne sont plus en capacité de s’exprimer. Un résumé des interpellés et des blessés de la police et l’affaire est classée.

Nicolas G. (IdF)

29 avril 2024

FRANCE : TOUT VA BIEN, SANS ERREUR… PUISQU’ON VOUS LE DIT ?

Alors on se calme ? Pourquoi rester dans des critiques décousues, englobant de plus en plus de sujets. Il est bien connu que les Français sont des râleurs, enclins à la polémique avec des reproches permanents mal fondés. Pour s’en convaincre, il suffit d’être attentif aux propos de l’Exécutif, de ses relais et de ses soumis. La dette ? Où est le problème ? Deux agences de notation ont confirmé la stabilité d’un pays sans croissance, mais sans récession. Si le déficit augmente et continuera d’augmenter, c’est parce qu’il s’agit d’un « bon » déficit à en croire le locataire de Bercy. Total quitte la Bourse de Paris pour Wall Street,Il explique que « c’est parce que le groupe a grandi, témoignage du prestige de la France ». Les violences en diminution ? On n’est pas obligé de tenir compte de tous les faits divers. L’augmentation quand elle existe doit être appréciée par catégorie !. L’avenir européen se retrouve dans une Europe souveraine à 36 et plus fédérale sans insister. Plus de droit de veto, vote à majorité qualifiée. Quant à notre force de dissuasion nucléaire, la demande est forte pourquoi ne pas la partager comme notre siège au Conseil de sécurité… Arrêtons-nous là !

Au fil de l’info de la semaine