LE GOUVERNEMENT EST DE RETOUR À SES AFFAIRES… ET À L’EMPLOI

Le souci de réduire le taux de chômage ne garantit en rien le retour à l’emploi. Pour mieux comprendre, on peut rappeler que le nombre de chômeurs indemnisé plus de 2.400.000, il correspond à 7,4% fin 2023 (INSEE - OIT). Déjà ce taux, qui a baissé depuis quelques années, peut s’interprété de différentes façons complémentaires : réduction de la durée d’indemnisation, chômeurs en formation, chômeurs en fin de droit, emploi passagers subventionnés, etc… En moyenne pour l’ensemble de l’UE, le taux de chômage moyen est de 5,9%, sachant qu’il est de 3,1% pour l’Allemagne et de 3,5% pour les Pays-Bas. Pour mieux apprécier les différences, il est préférable de compare les taux d’activité au sens du BIT. Si celui-ci est de 70% en moyenne, il est de 80% en Allemagne et de 84% aux Pays-Bas. Ce qui signifie qu’en France en brut plus de 6 millions de personnes sont sans emploi pour une population active de 30 millions...

Au fil de l’info de la semaine

2 février 2024

Trop pessimiste…, et alors ?

En ce qui concerne le « tout va bien » permanent, je deviens d’un pessimisme interrogatif ? A chaque fois mes amis et mes interlocuteurs me reprochent mon pessimisme. J’en conviens. Alors que je reste convaincu que c’est en voyant la vérité en face qu’on pourrait s’en sortir !

Aurélien J. (IdF)

30 janvier 2024

Une superbe manipulation de l’information qui dérange

Nous sommes repartis. Les agriculteurs, les pêcheurs, les taxis, la SNCF, etc. font l’actualité. Pendant ce temps on fait semblant. D’un côté pas un « mot » officiel. L’Inde pourquoi ? La Suède ? Un calendrier. La presse ne détaille pas. Le gouvernement non plus. On prépare l’Europe à être envahie, pas seulement par les poulets et céréales d’Ukraine, mais par Poutine. C’est la guerre ! Pendant ce temps, pas de gouvernement complet, une déclaration à l’assemblée et des promesses… La France est bloquée par nos agriculteurs et la suite...

Samcha96@

UN MONDE AGRICOLE EN DÉSORDRE SOULÈVE LE TAPIS !

Comment ne pas se contenter d’évoquer le conflit qui oppose nos agriculteurs à l’Exécutif. Ils sont en souffrance en désordre sur tous les plans mais ils sont décidés à bloquer le pays et à entourer la Capitale, les grandes métropoles et les principaux axes routiers. Ils rejoignent dans une certaine mesure le mouvement européen. Nouveau gouvernement ou pas : pour l’Élysée ou pour Matignon, il n’y a aucune différence dans les propos et les nuances et ils ne peuvent pas donner satisfaction. Ni le chef de l’État, ni le premier ministre n’iront jusqu’au bout, nos agriculteurs savent bien que tout se passe à Bruxelles devant la Commission et au parlement où le gouvernement et sa majorité ne tiennent pas le même langage. Technocratie, paperasserie, normes écologiques excessives, importations déloyales et non justifiées. L’Exécutif ferme les yeux et nie la réalité, oubliant le CETA, le MERCOSUR (Brésil, Argentine, etc.) en discussion, le Chili, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et depuis un moment l‘Ukraine exonérée de toutes contraintes. En coulisses les participants au Forum de Davos 2024 doivent se réjouir : l’Union européenne n’oublie pas le message : mondialisation et libre-échange, tout en tentant d’ignorer les BRICS et Co...

Au fil de l’info de la semaine...

24 janvier 2024

Bruxelles approuve l’écriture d’une « Histoire de l’Europe » acceptable par tous !

Ça suffit, voilà que Bruxelles a décidé de réécrire une « Histoire de l’Europe ». L’objectif est clair. Lisser l’authenticité des faits, les rivalités et la réalité des guerre et des conflits depuis les origines des temps pour offrir un histoire commune acceptable par tous ! Chaque pays se devra de revoir son Histoire nationale pour la rendre compatible avec celle choisie par la Commission. Personne n’en parle sérieusement. Mais le président et ses élus européens approuvent officiellement et on se tait.

Loran67@

22 janvier 2024

Une composition politique « maison » qui tarde

Toujours pas finie. C’est de la composition du gouvernement dont je parle. Vous avez raison dans l’édito, c’est bien d’eux dont il s’agit. il faut compléter une liste en équilibriste pour satisfaire tous les contributeurs… Si des voix manquaient pour les sondages et futures élections, ce serait la catastrophe à l’Élysée ?

amelie.com

UNE SEMAINE MELANGEE : COMMENT S’Y RETROUVER ?
Après le changement de gouvernement, officiellement tout va mieux. Encore un peu de patience pour connaître la suite des acteurs ministériels ? Les réactions partisanes de la majorité non définie tentent d’influencer les choix. L’espoir reviendra chez certains au détriment d’autres. Le chef de l’État s’est exprimé dans une prestation-presse de longue durée, diversement appréciée comme d’habitude. La « Terre » continue de tourner. Comme la tradition le veut, Davos a occupé les esprits de la mondialisation à outrance, tous azimuts. Un forum mondial économique à structure associative, non subventionnée. Une démonstration de la puissance de l’argent pour Les « grands » qui influencent les « États » en imposant leur vision. Pour les « occidentaux », la route à suivre est définie pour l’année 2024. Rien de nouveau, les « habituels influenceurs » sont toujours là !

Au fil de l’info de la semaine

20 janvier 2024

Pourquoi répéter ce que tout le monde sait ?

Oser faire un commentaire m’est très difficile. J’éprouve souvent l’envie de l’écrire. J’hésite, je ne sais plus comment dire ce que pense. Et je renonce. Mes propos dérangeraient. Je ne suis pas sûre que je pourrais les passer. Et puis ce serait pour illustrer ce que nous finissons tous par accepter de nos politiques et d’une grande partie de la presse : la stratégie du mensonge. Vous m’avez sollicitée à différentes reprises. Je vous réponds. Je ne souhaite pas m’exprimer pour répéter ce que tout le monde sait et que rien ne change !

Claireloup@

18 janvier 2024

Les agriculteurs en colère ont du mal à se faire entendre

Vous ne parler jamais du monde agricole. C’est aussi un secteur économique. Nos agriculteurs sont non seulement contrariés par les réseaux de distributions alimentaires mais par Bruxelles. Si les grandes exploitations s’enrichissent, la France profonde agricole est sur la fin ! La presse ne dit rien, sauf en local pour les problèmes de circulation. C’est vrai qu’on n’est pas en Allemagne. Mais les télés sont absentes sur le terrain. Personne ne témoigne à la hauteur de leur colère. Pensez-y.

Jérémy L. (Bourgogne)