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Nicole N. (IdF)

Chasse au diesel : assez de dire n’importe quoi !

Combattre la pollution et veiller au réchauffement de la planète oui ! Mais il faut cesser de dire n’importe quoi et d’oublier l’essentiel. L’article à la « Une » de CE21, le rappelle, mais faut-il insister encore sur la pollution maritime générée par plus de 17.500 tankers ? Quant aux chantiers de Saint-Nazaine, ils continuent d’en produire ! Qu’attendent-ils pour les reconvertir au « tout » électrique ?

EPL@


22 novembre 2018

La voiture « électrique » face à l’épuisement planétaire des métaux « rares »

Dans l’article sur l’écologie du « tout » électrique, nous avons insisté sur le futur désastre pour l’environnement avec l’exploitation du Lithium et des terres « rares ». Mais je voulais rappeler, en ce qui concerne la fourniture de matières premières, un rapport de l’Institut pour l’Energie et le Transport de PETTEN (UE) qui alerte sur la question des besoins en métaux « rares » comme le Cobalt, indispensable dans la technologie actuelle des batteries. Même problème avec le Nickel, etc.

En 2030, pour l’Union européenne, avec un parc automobile au « tout » électrique majoritaire, la consommation annuelle de Cobalt serait multipliée au moins par 30 et pour le monde entier le besoin dépasserait la totalité de la production mondiale ! C’est ce sur quoi Michaël Torregrossa insiste dans automobile-propre.com.

Comme cela a déjà été évoqué et pour ma part, je reste convaincu que la voiture du « futur » sera une voiture électrique autonome grâce à une pile à combustible Air-Hydrogène. Ces voitures existent. Elles sont rares et bien entendu, très onéreuses. Néanmoins, c’est peut-être dans cette voie de la pile à combustible qu’il faut aller ?

RICM78@


21 novembre 2018

A qui profitent nos taxes perçues pour l’énergie renouvelable éolienne ?

D’abord (cf. rapport de la Cour des Comptes, avril 2018), la somme des subventions consacrées à l’éolien (terrestre et maritime) s’élève à 150 Md€ (Milliards), engagements de l’Etat pour les 20 prochaines années, compte-tenu des surcoûts de production (…) Qui paient ? Les contribuables français au travers du prélèvement d’une taxe écologique sur l’électricité. Qui en tirent bénéfice ? Les sociétés industrielles qui développent l’éolien avec des « surplus » financiers garantis ! C’est Louis Marin qui n’hésite pas à qualifier cette démarche « cachée » d’immense racket de la part des pouvoirs publics !

Nicole N. (IdF)

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