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Creatix33@

Paradis fiscaux : il est nécessaire de mettre les points sur les « i » !

Pourquoi ? Parce que les médias et la plupart des gens confondent évasion avec optimisation fiscale ! Quoi de plus normal que de mettre son argent dans des « régions » plus hospitalières à condition de respecter les lois de la fiscalité. Pour les personnes et les sociétés mises en cause dans le cadre des « Panama papers », attendons de savoir s’ils sont fraudeurs avant de les accuser…

Le problème n’est pas les paradis fiscaux ! Mais c’est avant tout la fraude fiscale et le blanchiment d’argent. Regardons autour de nous ! Ce que je vois autour de moi : il y a des individus qui ne déclarent pas l’ISF, certains qui emploient des personnels non déclarés, d’autres qui cachent des revenus… J’estime que largement plus de 50% de nos compatriotes fraude à différentes échelles en fonction de ses moyens et ses besoins. Nettoyons devant notre porte, c’est là que l’évasion commence…

Les Etats européens entre autres feraient bien de se décider à harmoniser leur fiscalité sinon l’optimisation fiscale sera toujours pour eux une sérieuse préoccupation…

Claude O. (Paris - IdF)


14 avril 2016

100 jours pour faire un livre ! 1 jour pour se faire un « sac » de noeuds !

Les couvertures et les titres différents du même livre témoignent de ce « sac » de nœuds ! (Cliquez sur les titres pour apprécier) Deux titres différents chez Fayard, pour présenter un même ouvrage « recueil » de propositions pour « sauver la France » ou pour que « la France réussisse ».

France 22 est sensée avoir récupéré les contributions « citoyennes ». Le « tout » est remis en forme, « sans » ou « avec » la collaboration d’Angélique Delorme (en tout « petit »), sous la direction de Jacques Attali (en très « grand »). C’est une curieuse mise sur le marché, peut-être révélatrice d’une incapacité de passage à l’acte efficace dans un « ego » collectif d’exception !

samcha96@


13 avril 2016

A force de (les) faire parler pour ne rien dire, on finit par les entendre !

La presse se plaît à prêter aux uns et aux autres, politiques, experts, philosophes et penseurs, des propos dont ils n’ont pas eu directement connaissance, mais qu’ils s’arrachent entre eux. Ce permanent médiatique fascine et intrigue avant de fatiguer quand on en découvre l’origine. Le « non dit », comme l’« interprété » ou l’« inventé » finissent par séduire le public. L’abondance de livres sur la place publique avec l’arrivée de cette présidentielle et des dizaines de candidats à la candidature en est la meilleure illustration !

Creatix33@

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